[PointCulture - Janvier2018] Films : musiques, contes et aventures !

Hey !

J’espère que tu vas bien ! Je te retrouve aujourd’hui pour te parler de mon mois de Janvier (on est en Mars, il serait temps!).

Vu la masse, tu auras droit à 3 articles pour l’occasion. Et ça sera ça pour tous les Point Culture qui suivront.

Je commence avec les films qui ne sont pas moins de 8 a avoir été vus.

Il y a de la musique avec les comédies musicales West Side Story (1962) et Into the Woods (2015) et un documentaire sur le dernier concert des Black Sabbath, Black Sabbath : the end of the end (2017). J’ai pu totalement découvrir le groupe dont je ne connaissais que la chanson Paranoïd dans Supernatural (S1E4). Du coup, je suis encore en train de sillonner leurs albums pour piquer quelques morceaux sympas. J’en suis à l’album Sabotage au moment où j’écris.

West Side Story, c’est la base en comédie musicale. Je me rappelais de quelques chansons emblématiques mais plus si j’avais vu le film en entier. En même temps, je devais être trop petite pour m’en rappeler. La thématique du film reste d’actualité puisqu’il est question de racisme et d’intégration etc.

En revanche, Into the woods c’est long ! Sympa mais long. J’ai moins aimé la deuxième partie du film que j’ai trouvé moins riche. C’est la partie qu’on pourrait appeler le post « et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».

Le casting est bon mais il ne suffit pas d’avoir un casting 4 étoiles dont une Meryl Streep chantante pour faire un bon film.

On reste dans l’adaptation de contes avec la Cendrillon de Kenneth Branagh sorti en 2015 également. Elle se rapproche plus du conte original que Disney. En même temps, c’est pas le plus compliqué non plus ! Mais au moins, c’est pas autant édulcoré que le dessin animé et c’est même un peu gore (pas de quoi casser trois pattes à un canard non plus hein. Si t’es en manques d’hémoglobine, passes ton chemin ! ) Mais pour un conte, ça vaut le coup de le souligner quand même. Enfin, pour un conte raconté aujourd’hui.

Le film en soi est pas mal mais ce sont les effets spéciaux qui me posent problème. Ils sont trop voyants, pas assez bien intégrés dans le film, que ce soit dans le scénario ou dans l’action. C’est ce qui m’a fait sortir du film par moments alors que cette version du conte est pas mal et que Cate Blanchett en méchante, c’est décidément une excellente idée !

Vient ensuite Batman, la version fin année 60 et celle fin année 80.

Celle de Tim Burton – donc 1989 – c’est comme West Side Story. Pas vraiment de souvenirs quoi. Mais en l’ayant revu je comprends mieux pourquoi. J’adore Burton, surtout dans les années 90, mais c’est pas son meilleur, ni le meilleur Batman, ni le meilleur Joker (pas taper ! Nicholson est excellent et très bon en Joker mais c’est pas le meilleur Joker et c’est pas le pire non plus alors calmos!).

Par contre, la version de Martinson ! C’est une grosse blague bien kitch ! Le Batman d’Adam West n’est pas du tout convaincant en justicier détective masqué. On dirait plutôt le gentil milliardaire qui ne sait pas quoi faire de son argent alors il se déguise (non mais parce que là niveau qualité, c’est du déguisement. Même les méchants ont l’air un peu plus sérieux dans leurs accoutrements de bad guys). Tout le monde le connaît et l’aime bien, sans remettre en cause son statut de justicier. Il possède d’ailleurs un aérodrome et des employés (????) Rien à voir avec un justicier solitaire mais plutôt solidaire.

Mais ce qui m’a le plus choqué dans cette version, c’est le Joker. Il est d’un fade ! L’homme mystère lui vole carrément la vedette au niveau de la folie, que ce soit dans ses propos ou dans son comportement.

Je termine avec les adaptations BD : Sur la piste du Marsupilami et Les aventures de Tintin : Le secret de la Licorne.

Extrêmement déçue par le premier. J’adorais le dessin animé quand j’étais petite, et là c’est le drame. Je ne retrouve pas l’ambiance du DA, alors que c’est (à peu près je crois) la même équipe que pour Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre qui est pourtant l’un de mes films préférés.

Il y a quand même 2 points positifs au films :

1. Le marsu est super bien fait ! Il ressemble au dessin animé (c’est mieux en même temps hein) au niveau caractère et physique. Malheureusement, je le trouve trop peu présent mais ça doit venir d’une question de budget.

2. Lambert Wilson qui sauve le film et sa prestation en Céline Dion (en talon, perruque et robe à paillettes s’il vous plait!)

En revanche, quelle bonne surprise avec Tintin !

J’avais un peu peur parce qu’il a été repris Outre-Atlantique (et que j’avais peur qu’ils américanisent trop la chose) et parce que je venais de finir le film avec le Marsu. Puis je me suis dit que tant qu’à faire, j’allais le regarder en VO, pour voir (enfin entendre, enfin bref t’as compris quoi).

Et ben j’ai pas été déçue du tout ! J’ai adoré l’histoire, son traitement scénaristique et visuel. Les personnages sont fidèles à la BD. Oui, Spielberg a réussi à me faire aimer Tintin – parce qu’à la base, je ne suis pas une super fan, que ce soit de la BD ou du dessin animé.

Je ne serai pas contre l’idée d’une suite !

Retrouve la suite sur les séries de Janvier par ici !