Rendez-vous avec Joseph Gordon-Levitt

Hey !

Ce soir, on se trouve pour la première soirée de la Semaine du Love (cliché quand tu nous tiens) avec JGL, où il sera question d’amour-amitié-je-sais-pas- trop et de porno.

Bon, alors non je n’ai toujours pas vu (500) jours ensemble et oui promis après j’arrête de vous bassiner avec (sauf que je l’aurai vu et qu’il fera parti d’un Point Culture!). Mais je peux déjà dire qu’on a affaire à deux films qui s’interrogent sur la définition d’une vraie relation – qu’elle dure ou non – et non d’une relation rêvée avec chevalier servant et jolie princesse.

Je vous ai déjà parlé du film de Marc Webb ici, donc je ne vais pas m’étendre sur le sujet.

Mais alors pourquoi je veux vous en parler ?

Pour le duo JGL/Zooey Deschanel en mode couple mignon mais vrai avec ses soucis, ses attentes, ses fantasmes etc.

Pour la bande son.

Pour le charme fou de ce petit film sans prétention.

Passons maintenant aux choses sérieuses ! Oui enfin parlons un peu cul quoi.

Don Jon, c’est ça :

Pour un 1^er film (qu’il a également scénarisé) - sortie en 2013 - , JGL se paye un casting plutôt pas mal avec Scarlett Johansson dans le rôle de miss perfection-j’adore-mâcher-du-chewing-gum-la-bouche-ouverte-pour-qu’on-voit-que-j’ai-une-grande-bouche, Julianne Moore un peu à l’ouest mais les pieds bien sur terre, le retour de Tony Danza de Madame est servie et Brie Larson alias Captain Marvel (que l’on verra très bientôt dans Avengers 4 après l’avoir vu dans son propre film).

Alors pourquoi parlé de ce film alors qu’on est en plein dans l’anti-macho, anti-porno entre autres choses (la liste serait malheureusement beaucoup trop longue pour en parler ici) ?

Tout simplement parce que ce film ne fait pas l’apologie des clichés sexistes comme il peut le laisser entendre. Il en montre les travers futiles de façon subtile pour tendre doucement vers ce qu’est la réalité, sans fantasmagories, juste avec ce qu’elle a de bien à apporter, suffisamment pour qu’on ait envie de la vivre et de l’améliorer sans prétention.

Le film va donc plus loin que le simple fait qu’un mec soit obsédé par son apparence et surtout son porno.

On se retrouve donc avec deux films plus réalistes sur les relations humaines que ce qu’on peut voir dans Sex and the city (films/série) et pourtant je vénère cette série !

Je vous laisse découvrir ou redécouvrir ces petits bijoux (pas forcément à regarder en famille) et vous retrouve demain pour quelques adaptations.

Prenez soin de vous !